LE CANTAL, AU COEUR DE L'AUVERGNE

Nous avons déjà vécu les deux situations.
Nous avons déjà vécu les deux situations.

 

 

 

 

 

 

 

Cette très belle maison fut

notre premier client cantalien,

loin de notre "base".

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Peu après l'ouverture du "Château de Couffour", sur la route qui quitte Chaudes Aigues, Serge Vieira, son épouse Marie-Aude et un ami sommelier de la famille nous avaient reçus tout un après-midi. C'était un jour de relâche et le chef était en bermuda, très décontracté et à l'écoute.

 

Depuis lors, plusieurs millésimes de nos cuvées ont rejoint la carte. Et depuis lors aussi, plusieurs macarons ont rejoint l'appréciation de la maison dans le Guide Michelin. Je ne prétends pas que les deux sont liés.

 

L'année où Madame Vieira a attendu famille, nous n'avons pu organiser de dégustation et il y avait donc deux ans que nous ne nous étions vus. Céline, l'attentive sommelière de la maison, avait gardé ses notes de la dernière fois et nous avons pu détailler l'évolution de nos cuvées. Il faisait très beau sur ce Cantal méridional, presque l'Aveyron ou la Lozère, et c'est le vol incessant des milans noirs, très nombreux à ce moment-ci, qui est venu saluer notre réunion.

 

Nous avons quitté Corneilla, via La Franqui, en milieu de journée jeudi pour livrer du côté de Rodez avant d'aller saluer la famille Durand à la Coutellerie de Laguiole. Enfin, c'est à Nasbinals que nous avons fait étape. Je vous en reparlerai.

 

De bonne heure vendredi, nous avons suivi en flânant la D13 qui file vers Chaudes Aigues après Saint-Urcize, admirant au passage des dizaines et des dizaines de rapaces dans les nues, tout heureux de voir tant de proies apparaître dans les prairies sous le soleil de mai après deux journées d'averse et un énorme orage magnétique.

 

Ensuite, c'est le pont (Gustave Eiffel) de Garabit qui nous a servi de halte, après avoir été témoins d'en haut et à distance des vaines tentatives de réanimation d'un impressionnant dispositif de médecine d'urgence (hélicoptère compris) sur une noyée volontaire. Christine avait pris rendez-vous avec la sommelière d'un très bel établissement dominant l'ouvrage d'art métallique, le Beau Site, très bien nommé.

 

Bien plus tard, aux confins des monts du Cantal, c'est à Vic-sur-Cère que le sympathique Eric Bouyssou nous a accueillis dans son Bel Horizon. Malheureusement pour lui, les conditions climatiques ne nous ont pas permis de vérifier l'intitulé de son hôtel-restaurant. 

 

Vous trouverez des images et un récit détaillé

de notre journée dans la rubrique ACTUALITE

 

 

 

 

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