Ceci représente mon septième billet du jour,
le dernier.
Je pense qu’il y a une relation inverse entre mon envie de
« faire de la paperasse »
- j’ai un gros retard –
et mon plaisir à vous
faire ces récits.
Nous avons passé deux journées en clientèle, entre la Haute-Garonne et l’Ariège, avec un bon espoir de commandes chez des nouveaux clients de qualité, puis j’ai lu tout ce samedi. Aujourd’hui, .... j’avais à faire mais j’ai préféré rédiger ces nombreux billets pour vous.
Après la confection de la pasta, déjà présentée, Christine s’est mise aux canelés, un de ses grands succès. « Bah, c’est de la banale pâte à crèpes », diront les plus mesquins. C’est vrai, mais il y a la manière, et le dosage du rhum, et les deux sucres, et la surveillance du four. Aujourd’hui : 19,9 sur 20 !
Quant à la poire, elle vient de Saint-Girons, où les deux commis – mais je pense qu’il doit s’agir des fils de la maison – nous ont servi avec gentillesse et efficacité, à 18 h 25’, au moment où ils remballaient : du jambon blanc maison, du jambon sec, du fouet au piment, de la saucisse sèche, deux côtes de porc au filet de
400 g chacune ( ! ) et la splendide poire que vous apercevez, croisement Blonde d’Aquitaine x Charolais ... le tout pour 30 €. Maison Jean Fort.
Nous revenions d’une dégustation dans ce qui est sans doute la meilleure table locale. Chut, la Cuvée Majou 2007 leur a beaucoup plu.
J’ai simplement saisi la viande sur la plaque sur feu, manié un petit beurre maître d’hôtel modifié selon ma fantaisie et ... cuit les frites avec les p d t bio récoltées par la copine de ma chèvrière préférée.
Quant au Pommard, un 1er cru de chez Parigot, 1990, il était à point.
C’est malheureusement ma dernière bouteille.
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