LA OU (CATHERINE) LEVI ATTEND

 

 

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ....

 

 

 

Voilà ce que nous livrait Arthur Rimbaud, loin des gouffres cataractants et des maelströms épais. Nous, ayant quitté le marais camarguais en milieu d'après-midi, il nous fallait arriver à Esparron avant 19 heures, estimait ma mère. Car c'est en eflet  là que Catherine Levi attend sa venue, et la nôtre par la même occasion, pour la fin de son séjour en région méditerranéenne.

 

Au milieu des joncs, c'est un véritable paradis qui s'est dévoilé à nous, avec comme seul monstre biblique ... un fait-tout de potage au pistou qui n'attendait plus que son Parmesan rapé pour s'offrir aux dîneurs.

 

Ce n'est d'ailleurs pas complètement exact: un petit plouf-plouf dans la piscine à 26°C a relaxé les voyageurs avant de passer à table. Parfois, la vie de convoyeur de vioques n'est pas désagréable. Le billet suivant vous en montrera d'ailleurs quelques images.

 

Merci de ton accueil, Cartherine.

 


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