ET COMME ENTREE ...

Marc et Nathalie, ou l'inverse si on est sexiste
Marc et Nathalie, ou l'inverse si on est sexiste

 

 

 

 

Ils ont apprécié

mon "choix"

d'entrées ...

 

 

 

 

 

 

Car nous avons simplement goûté de tout. J'aime de moins en moins choisir, dans les (très) bons restaurants; je laisse ce travail au chef. Et justement, le menu prévoyait de tâter à toutes les entrées de la carte du jour: le caillé de brebis dans une nage de pulpe d'herbes, le rouget dans sa roquette parfumé de gingembre, les seiches en noodles et leurs légumes, le gravlax de taureau et SURTOUT de formidables haricots verts ("princesses" en Belgique), tous fins et exquis. 

 

Remarquez  la technique de la damoiselle: pour ne pas s'en laisser compter, elle empoigne la fourchette dans la main droite - celle qui nourrit - et se sert de la cuiller de la main gauche - celle qui tranche. Très efficace ! 

 

Nous avons ainsi fait un repas "presque" végétalien, si on exclut le lait de brebis, le rouget, le taureau, les seiches et la dorade. Chez Inada - ma référence bruxelloise - c'est aussi comme cela: il y a BEAUCOUP de légumes, mais pas que ...

 

Et qu'est-ce que nous avons bu?

La Perle, un 70 % chardonnay / 30 % pinot noir né à Dion, "on the house" en plus, avec les mises en bouche.

Un Pied des Nymphettes, sorte de Fitou blanc multi-cépages recommandé pour accompagner les entrées par le très communicatif chef de salle (et homme de confiance du chef) en l'absence du jeune sommelier, Johan, avec qui nous avions immédiatement sympathisé. Ben oui, même les étoilés accordent des "RTT". 

Et un Rioja blanc avec la dorade.

 

Le dessert, ce sera pour la prochaine fois.

 

 

 

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