TROP COURT

 

 

 

 

 

 

Voilà le problème

de ce petit recueil de ...

deux contes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous vous souvenez de l’Accabadora. La même jeune romancière nous livre deux petits récits sardes sur un ton beaucoup plus léger, tout à fait dans l’ambiance de Daudet dans ses Lettres de ... ou de ce que décrit Jean-Claude Carrière de son vécu cévenol.

 

Le style – de la traduction ? – reste alerte, avec un petit bémol à la page 92, la dernière : « ....Mon oncle à un flamand (sic) rose empaillé dans son salon .»

Le « d » final à flamand est une petite coquille dont on se serait passé !

 

Les anecdotes sont savoureuses et fraîches mais ... ne fallait-il pas attendre d’avoir au moins une dizaine de ces nouvelles pour les publier ? Ici, on reste réellement sur sa faim à la fin. Afin de nous combler, il aurait fallu affiner et compléter jusqu’à plus faim. Maintenant, on a l’air fin. Je sais que les éditeurs, ces aigrefins, veulent des sous, et que la fin justifie les moyens, mais tout de même.

 

A lire, mais on en aimerait un peu plus.

 

 

 

PS : je transmets à l’éditeur, en précisant que « aigrefin » doit être pris au deuxième degré et a été retenu en guise de Spielerei. Nous n’aurions pas de livre sans eux et que serions nous sans cela ?

 

 

 

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