ON FERME

 

 

De quai en quai

et de

ponton en ponton,

la lumière a

fini par tomber

sur la marina de Gruissan.

 

 

 

 

 

Nous avons rebroussé chemin, retrouvant notre route caillou après caillou. Les faux hiboux nous ont vus nous éloigner, eux qui font leurs choux gras de la naïveté de visiteurs comme nous.

 

Marchant à mes côtés, Christine m’a légèrement poussé du genou et m’a dit : - Tu sais, pas rasé, t’es laid comme un pou.

 

Enfin, léchant de rose l’horizon, l’astre du jour s’est couché, nous abandonnant les constructions modernes comme autant de petits rahat loukoums posés sur les flots.

 

 

Merci, Haci Bekir !

 

 

 

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