MANNIX ET SA MÔMAN

 

 

Vous avez déjà croisé sur ces pages Johan et Loïc.

Ils ont une mère,

le Dr. vét. P. Verhegge.

Celle-ci vient d’adopter un nouveau fiston, Mannix, cocker spaniel havane

de son état.

 

 

 

 

Il y a maintenant plus de 25 ans (!), trois cockers gambadaient dans ses pieds : Puppy – qui m’a accompagné brièvement à Wemmel avant qu’une hémorragie cérébrale (sans doute) ne l’emportât au bel âge de 14 ans, Gélinotte et puis leur rejeton, Obélix.

 

Ensuite ce furent des boxers – les ennemis jurés de tout ce qui est cocker : Amélia et Blinky.

 

A présent, cet adorable petit bout apprend tout ce qu’il faut savoir pour appartenir à l’espèce des chiens bien élevés : madame la véto l’accompagne au dressage. Dommage qu’on n’ait pas eu le temps, ni elle ni moi, de faire cela avec nos fils aussi. L’aîné ne serait pas en train d’exterminer les squales au pays où la nouvelle apartheid range le blanc au rang des indésirables à éliminer au plus vite et le cadet ne contribuerait pas au bien-être des actionnaires honnis d’un grand groupe financier.

 

Lo, Jo : au pied, ici !

 

 

Post scriptum : c’est moi qui ait posé l’animal sur le plan de travail de la cuisine, en vue de lui tirer le portrait. J’espère que le toaster – lisez « grille-pain » - ne le transformera pas en hot-dog ! En France, il existe certainement un règlement qui interdit cette attitude peu hygiénique et un fonctionnaire assermenté viendrait m’en faire le reproche, avec procès verbal en quatre exemplaires.