TOUS AU CHAI LE 9 NOVEMBRE

On vous attend (samedi uniquement  pour Christine et moi)
On vous attend (samedi uniquement pour Christine et moi)

Je me réjouis de pouvoir

présenter un large

éventail des vins de la

COUME MAJOU

aux amateurs hennuyers toute la journée du samedi lors du long week-end

de l’Armistice de 1914-18.

 

 

Je file ensuite vers le littoral belge, pour d’autres dégustations. Je tenterai aussi d’entr’apercevoir – entrapercevoir convient également depuis 1990 – la deuxième moitié de la Cuvée Jolo, Loïc et sa soeur, La Loute, dont Michel Smith prétend que « c’est une jeune femme qui m’échappe à présent ». Enfin, je devrais établir un bref contact avec les Michel de ce blog, et peut-être même me rendre en Batavie, pour un rijsttafel à Maastricht, promis de longue date à Christine. Auparavant, il est question que notre infectiologue préféré demande à sa compagne d’origine philippine de nous concocter un repas de chez elle ... toujours le lien avec Jolo bien sûr.

 

Revenons à Castillon. Gérald, un fou de vin et gastronome averti, et sa compagne Catherine, cordon bleu du dessus du panier, presque une « pro », ont mis sur pied un commerce de vin, « en activité complémentaire » disent-ils. Vu le temps qu’ils y consacrent, et le sérieux dont ils font preuve, je me demande ce que c’est quand c’est « pour du vrai ».

 

Comme je suis un mauvais commerçant, et plutôt bon gars, je vous signale que vous aurez aussi le plaisir de découvrir les propriétaires d’un des beaux domaines du Minervois : le Château Coupe-Roses à La Caunette. Christine ne sera pas dépaysée, elle, la native de Saint-Pons-de-Thomières : le doux accent occitan chantera à nos oreilles. Il portera les relents d’olives en train de mûrir pour ceux de Minerve, ou bien les bruits des bogues de châtaignes qui tombent pour ceux d’en-haut, au flanc même de la Montagne Noire. Les jambons secs de La Caune, de La Salvetat et de Fraïsse-sur-Agout me hanteront. Et le bon vin de Pyrène par dessus tout cela, avec comme un rappel à ce « Vin Bourru » que chante si bien l’immense Jean-Claude Carrière au pied du Caroux et de l’Espinouse, un peu plus vers le Levant !

 

Méfiez-vous toutefois de keuf,

il rôde par là dans ses voitures banalisées :

Bob obligatoire !

 

 

 

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