ET SI J’ÉTAIS MANIPULÉ ?

 

 

 

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Les blogs permettent de s’exprimer facilement, de donner un avis et ... ils autorisent toutes les manipulations. En plus de 8 années de présence continue dans les P.O., j’ai eu l’occasion de faire trois repas décevants à Perpignan, dans des établissements membres des « Toques Blanches » du Roussillon. L’un d’eux était tellement mauvais que je m’en suis ouvert à Jean Plouzennec, qui était le président de l’association, et excellent chef lui-même. Je pense qu’il a fait suivre l’information. Jamais je ne l’ai clamé sur tous les toits.

 

Sur la même période, et ce blog en atteste de temps à autre, j’ai fait au moins vingt repas hors pair dans cette même ville, que ce soit à La Galinette ou, du temps où il exerçait encore chez nous, chez Eric Planes rue des Augustins.

 

Amis lecteurs, ce n’est pas parce que quelque chose à la vertu de l’écrit, et s’orne de jolies photos, qu’il a qualité de vérité incontestable. Je vous en prie, ne perdez pas votre temps à consulter « L’instant resto », le blog de Charles-Henri Orliac. Ce personnage a des habitudes qui frisent la grivèlerie, et y entrent parfois de plain pied. De manière plus générale, il existe pour le moment une tendance à « casser du cuistot » que je ne comprends pas.

 

Bien sûr, la concurrence essaiera parfois de placer un avis défavorable sur tel ou tel établissement. Ce n’est pas jojo mais cela existe dans tous les métiers. Quelle marque de cassoulet a essayé de couler Spanghero, récemment ? Bien sûr, les proches d’un chef tenteront peut-être de dorer la pilule quand c’est possible. Mais cela tient de l’anecdote.

 

Dans le cas de Monsieur Orliac,

il a érigé la manipulation en système.

Ou alors ce sont ses détracteurs qui

« m’ont bien eu » moi-même !