SI MACHO S’ABSTENIR

 

 

 

 

 

 

 

Et c’est

la mère Patou

qui a repris

deux chats ....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La mère des titulaires de la Cuvée Jolo, mon VDN de sommet de gamme, continue de m’héberger avec bienveillance lors de mes séjours bruxellois. Je vous avais annoncé ICI que j’évoquerais ce point en images.

 

Elle est devenue, avec le temps, une féministe moderne. J’entends par là quelqu’un qui ne lance pas des slogans casse-couilles éculés, qui accepte de profiter des bons côtés de l’homme – et notamment du sien que je salue amicalement – et ne nourrit pas une haine envers son prochain masculin que seule une hétérosexualité profondément chevillée au corps empêche de se transformer en « butchisme militant », mais bien une femme qui assume pleinement sa condition de citoyenne, de professionnelle active, de mère et de charmeuse en même temps. (Bon, il ne faut pas l’idéaliser non plus, elle reste à ses heures une sacrée emmerdeuse têtue et obstinée malgré tout).

 

Oui, je sais, quand nous avions 30 ans, je ne lui disais pas tout cela. Mais elle a sans doute changé et moi aussi. En outre, mes surrénales et certaines autres glandes propres à mon sexe m’imprégnaient à cette époque de toutes ces bonnes choses qui m’obligeaient plus à suivre l’exemple du papillon heureux de parcourir mes vignes, ou des abeilles industrieuses qui butinent les grappes à présent en fleurs, que le modèle de la douce tourterelle. Pfff, qu’est-ce que cela doit être suant, la vie d’un colombidé, sauf peut-être dans le cas du pigeon voyageur.

 

Or donc, après une hécatombe de chats liée à leurs trois prédateurs principaux, par ordre d’importance décroissante : la faculté vétérinaire, les chiens de race boxer et les véhicules motorisés, une longue période canine a suivi à son domicile.

 

 

A présent, Patou a repris

deux adorables chattes en résidence :

Thelma & Louise.

J’espère que le Rozenweg ne leur

servira pas de Dead Horse Point !