« DAS PISSOIR » OU BIEN « DE PISSIJN »

Quelle aisance
Quelle aisance

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oui, Mr. Piggot,

il y a bien une vie

après le Liebfraumilch!

 

 

 

 

 

 

 

 

La belle langue de Goethe a emprunté au français ce qu’il a de plus noble. En revanche, elle lui a abandonné le ... vasistas. Remarquez que le petit endroit a changé de genre en passant du néerlandais à l’allemand.

 

De même, en Belgique, nous allons « à la toilette », tandis que les Français préfèrent aller « aux toilettes ». Le pluriel leur offre ainsi plus de chance d’en trouver une de propre, dans leur pays. Etrange d’ailleurs que, pour une nation qui fait tant de cas du génocide arménien, on y ait gardé autant de cabinets à la turque !

 

Trêve de balivernes, le plus difficile quand on déguste du riesling, ou des vins à forte acidité en général - cela marche à Vouvray, dans l’Aubance, dans la Kamptal, dans le Minho ... - c’est de trouver à se délester au bord des routes. L’Allemagne est le pays de cocagne des prostatiques et des ivrognes. Il faut dire qu’il y est très mal vu de se soulager contre les haies, dans la partie de confession évangélique en tout cas. Pas de troènes pour soulager vos aines.

 

Bonne journée et ....

Piss & Love à tous !

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Loïc (samedi, 29 juin 2013 11:22)

    El baño, the John, les chiottes, das Klo, il gabinetto, the outhouse, los servicios, de HUDO, the little boys' room, het schijthok, the crapper, de sanitaire instellingen, the water closet --> el váter, the powder room, ...
    I could go on and on