PLEIN LA POIRE

La poire sans son merlan
La poire sans son merlan

 

 

 

Je vous exposais ICI

ma halte charol(l)aise,

admiratif que j’étais devant la dextérité du boucher

sur la place de l’église.

Je n’y avais pas fait chou blanc.

 

 

 

 

 

Ce soir, la pochette sous vide préparée mercredi dernier a libéré son comptant de ... poire. Pour faire bonne mesure, nous avons dégusté une Eglise de Coume Majou 2007 et l’avons accompagnée d’un chou .... –fleur !

 

La viande était archi-tendre, et goûteuse, au prix d’un soupçon de noix muscade : j’adore cela, comme la canelle, le gingembre, le clou de girofle, toutes épices à manier avec parcimonie. Cette dernière – Parcimonie – devrait d’ailleurs éditer un livre de cuisine, c’est « si tant » à la mode.

 

Quant à l’Eglise 2007, que mon ami Michel Ingels apprécie beaucoup, elle suit le même chemin que notre Cuvée Miquelet 2005 : un peu austère et rêche au début, elle arrondit ses tannins et commence à charmer par sa finesse. Elle fit merveille sur le charolais, ouverte il est vrai depuis quelques jours (reliquat d’une dégustation hôtelière, faut pas gâcher!)

 

Et le chou, me direz-vous ? Ou bien on demande à Marlène des nouvelles de son cousin, mais alors c’est hors sujet, ou bien je vous réponds de regarder la tronche qu’il a : biscornu, de couleur hétérogène, il est évidemment bio ! On lui a trempé la queue dans l’eau chaude (au chou), puis il a pris un rien de béchamel (mucho, béchamel mucho) sur le dos et zou, sous la salamandre.

 

 

« Bon Profit » (en catalan dans le texte)

 

 

 

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