LE RIBERAL DANS LE BROUILLARD

Vue sur la plaine, 14 heures aujourd'hui
Vue sur la plaine, 14 heures aujourd'hui

 

Ce matin, départ vers « la route de Paziols »

pour un premier jour de taille.

Rien à signaler.

 

 

Je vous montrerai le théâtre de ces activités dans un autre billet.

 

Par contre, au retour (vers 14 heures) un brouillard blanc s’étend sur tout le Riberal, sur la plaine du Roussillon et même plus loin sur le Bas-Conflent. Sur le piémont des Corbières, le voile est léger et diaphane, mais sa densité s’accentue à mesure qu’on se rapproche des Albères ou de l’Aspres. Le banc s’étend du sol jusqu’à une altitude de 250 à 300 mètres environ. L’effet est des plus réussis.

 

Je n’ai jamais observé un tel phénomène, depuis 8 ans que je vis ici. Les nuits sont fraîches – autour de zéro au réveil pour les coins les plus froids – mais la température monte très vite dès que le soleil quitte l’horizon. A dix heures, on ne supporte plus rien qu’un polo à manches courtes et ... j’ai pris un discret coup de soleil ce matin.

 

Par ailleurs, profitant du tarif nocturne pour le kilowatt/heure nucléaire qu’EDF me vend, je fais tourner le lave-vaisselle la nuit. Ce matin, les verres étaient encore embués, sans que j’aie changé la programmation de la machine. Et le sucrier est gluant dans la salle à manger. Je pense que l’humidité ambiante est considérable, ce que l’arthrose de mon épaule droite confirme.

 

Les conséquences de cette climatologie bizarre

pour le milieu agricole sont déjà palpables.

Nous en reparlerons.

 

 

 

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