ET ENCORE DES NOUVELLES D’UNE VENDANGEUSE, TÊTE DE CUVÉE QUI PLUS EST

Devant l'hôtel communal de Jodoigne
Devant l'hôtel communal de Jodoigne

 

 

 

 

 

On ne présente plus la Loute,

qui « fera » 22 ans à la fin

du mois de janvier.

Nous avons eu une longue

discussion la semaine passée ;

 elle, devant des nems frits à point ;

moi, devant une cassolette de canard

au lait de coco et au curry rouge.

 

 

 

 

 

 

 

 

RUBRIQUE HUMOUR

 

Je sais que ni les nems, ni le canard, ni moi-même ne sont visibles sur le cliché, et je vous prie de nous en excuser. Le froid de canard qui régnait nem-e disait rien et il fallait bien que quelqu’un appuyât sur le déclencheur.

 

La Loute va sans doute tenter – une première fois – de présenter le jury central, cet examen d’état qui couronne les humanités secondaires en Belgique pour ceux qui ont quitté l’enseignement « traditionnel ». L’expérience familiale, et générale au niveau de la nation, nous apprend toutefois que la première tentative est rarement la bonne : elle permet néanmoins au candidat de jauger de l’immensité de ...

ses lacunes. Ceux qui persévèrent obtiennent le brevet au bout de 2 à 4 essais !

 

Entretemps, elle va accepter un emploi à moyen terme, je veux dire plus consistant qu’un job d’étudiant : elle recherche un poste de Première Dame par intérim dans un état européen de pointe, ou bien de chef du protocole auprès des présidents de commission de l’UE avec choix totalement libre de ses mandataires et Bruxelles comme port d’attache. A la rigueur, des premiers rôles à la Comédie Française lui conviendraient aussi, ou une fonction d’égérie chez un grand couturier, en excluant l’ignoble Lagerfeld, bien entendu.

 

Si vous êtes intéressés par ses propositions, envoyez votre lettre de motivation

sur ce blog : le papounet fera suivre .... après enquête.

 

Message perso : ne change rien, la Loute, on t’adore.

Mais reconstruis un petit piédestal, ma statue a froid par terre !

 

 

 

 

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