LES VIOQUES SONT À NOUVEAU LÀ

Riesling 2008; quel équilibre !
Riesling 2008; quel équilibre !

Et oui, les amis, après Loïc et Steph., après Didier, le Guest House de Corneilla rempile avec sa vioque. D’ailleurs, le Frankenwein coule à flot, dans des Römergläser. Ce soir, honneur à la maison Wirsching d’Iphofen, sans doute ma préférée.

Le Julius-Echterberg nous livre ses ors de riesling et .... c’est bon !

 

 

 

Aux aurores demain matin, on lève le camp avec la Lozère comme destination : des nouveaux clients potentiels, des livraisons, des amis et une dégustation très studieuse avec Marie Laurens, rencontrée chez Serge Vieira, puis disparue à Dubai, et revenue chez Cyril Attrazic à Aumont-Aubrac. On verra aussi sa maman, qui gère l’Hôtel de France à Châteauneuf-de-Random. Et puis nous rendrons visite à nos amis Cadio-Roudgié à Aumont aussi, et puis et puis ....

 

J’aime ce coin de France, du Cantal à l’Aubrac puis aux Causses.

 

Fin de semaine, un des plus grands sax ténors vivants – au propre comme au figuré – nous remplira le Théâtre de l’Archipel, folie alduysienne. Mais bon, si pour Henri de Navarre « Paris vaut bien une messe », pour les mélomanes, Giuseppe vaut bien un mauvais fauteuil et nous en serons.

 

Ciao, amici mei, on se retrouve vendredi, au programme chargé : ma cuve de grenache maurynate termine sa fermentation alcoolique et je dois la surveiller, un groupe de Danois et d’Allermands viennent déguster les bons vins du domaine, à l’invitation de notre conseil interprofessionnel. Je sais déjà qu’ils n’achèteront pas, j’ai parcouru leur catalogue : vins de coop à 2 € pour la plupart sauf un, qui importe l’excellent Castello di Ama. Puis, nouvelles maquettes pour les étiquettes 2012, relookées ; et enfin, visite de fin de vinification avec mon oenologue.

 

Il balise à mort devant ma tendance à utiliser de moins en moins

de sulfite à la cave – je n’ai pas dit à le supprimer –

alors que mes acidités volatiles n’ont jamais été aussi basses !

Pauvre Laurent.

 

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    scadio (dimanche, 14 octobre 2012 17:01)

    Tu sais, Cher Luc, que je n'avais pas fêté mon anniversaire depuis 1990... tous nous avons constaté que tu avais plus de souffle que moi. J'ai un peu honte d'avoir du souffler par deux fois la seule bougie que tu m'avais laissée vivante !