DANIEL A RAISON ET RÈDE A TORT

Michel et moi SOUTENONS les courageuses Banyulenques
Michel et moi SOUTENONS les courageuses Banyulenques

Dans un billet bien enlevé – si j’ose ainsi m’exprimer – le Taulier joignait ses forces (vocales ou tout le moins calamiques) au déploiement d’arguments de Barbara Frenz. Celle-ci s’oppose d’une manière cocasse et bon enfant aux vues du maire de Banyuls, M. Jean Rède, concernant les travaux à apporter au port.

 

J’étais non pas un ami – le terme est à la fois trop flatteur pour moi et trop fort pour traduire la réalité – mais bien dans les bonnes grâces d’André Parcé, Dieu seul sait pourquoi. Je ne pense pas qu’il aurait laissé se dégrader à ce point les amarrages et la protection de sa « marina ». Je ne pense pas non plus qu’il aurait proposé des réfections aussi pharaoniques – mutilantes comme l’excision du même nom – et au prix d’un tel mépris des souhaits de la population.

 

Vous remarquez au passage que ce texte allitère beaucoup. D’accord, il s’agit d’une digression.

 

Or donc, dans sa mansuétude infinie envers l’infâme vermisseau que je suis, et par sympathie pour l’important ver .... Michel qu’est le Forgeron (aka Michel Smith), le bon taulier suggère que, tenant compte de notre statut de « régionaux de l’étape contestataire », nous avons le devoir moral, sinon républicain, de manifester notre solidarité aux Mamma, Mutti et autres mammelles – ou ce qui leur sert de tuteur.

 

Flatté, moi d’opiner du chef et Michel derechef.

 

Sur ce, un certain « Tabellion » - vous connaissez la propension pré-pubaire des blogueurs à s’affubler les uns les autres de surnoms – indiqua qu’il nous verrait bien, tous trois, posant pour l’éternité en compagnie d’Aubade® (quelle aubaine), de Lou® (viens mon chou sur mes genoux), de Playtex® (l’orgueil du beau sexe que je croise sur mon petit coeur et non l’inverse) ou même d’Etam® (pour raviver ma flamme).

 

Ce Bigarrot, d’adoption en tout cas, ne peut rester sur un sentiment d’insatisfaction. Même si nous ne voyons pas toujours le monde avec la même lorgnette, nous l’observons tous deux avec la même passion amusée et avec le même espoir – éternellement déçu bien entendu – qu’il pût aller mieux, et si pas demain, au moins .... un jour.

 

Voici donc, cher Daniel Chérel, l’humble contribution d’un « vigneron sur le tard » et d’un « vieux routard dans le ton » à la contestation ... musclée ou en tout cas galactophore contre les visées portuaires de l’homme de l’avenue de la République N° 6.

 

 

Écrire commentaire

Commentaires: 2
  • #1

    Michel Smith (lundi, 23 juillet 2012 06:57)

    Il est clair et net sur ce cliché que le soutien massif massif aux valeureux soutifs de la Côte Vermeille fut bien arrosé.

  • #2

    Best Juicer (lundi, 15 avril 2013 03:18)

    I just shared this upon Twitter! My buddies will really enjoy it!