POTEST COUME MAJOU ADIRE ARIEGUM

Ni Pavane ni Gavotte mais cousins du pavot
Ni Pavane ni Gavotte mais cousins du pavot

 

« ... Pas facile de trouver propos

                                                 (qui illustrât un champ de coquelicots)

Pas le temps d’un long discours

Juste assez pour tenter la satyre
Qu'elle sente que j'veux lui plaire .... »

 

 

Merci à Philippe Lafontaine de m’avoir aidé pour l’entame de ce billet. L’image est trop belle pour vous en priver mais qu’en dire ? Que ce champ de coquelicots (mon âme ...) rencontré au détour d’un lacet le long de l’Aveyron, du côté de Penne, sur la route qui rejoint Montricoux et Saint-Antonin-Noble-Val, nous a semblé digne de figurer sur ces pages. Il égayera les sombres nouvelles de ces jours derniers.

 

Cetta après-midi, j’endosse mon petit spencer de Firmin, façon « Château de Moulinsart » et pose ma casquette de chauffeur-livreur sur une belle tignasse chenue : nous filons vers l’Ariège, contrée enchanteresse. Livraison à Nalzen, dégustation à Tarascon, passage vers Saint-Gaudens : je ne savais pas qu’un vigneron doit parcourir tant de kilomètres en voiture.

 

Nous logerons en chambre d’hôte et mangerons avec les propriétaires, un Suisse amoureux des Pyrénées (un comble !) et sa compagne, indigène férue des châteaux cathares, le tout en plein pays du cheval Mérens. Cela promet.

 

 Je vous jure que j’emporte quelques flacons ....

et peut-être un petit "Puro" si les propriétaires n’en sont pas incommodés.

 

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0