IL FAUT BÉTOURNER SES PHRASES POUR GARDER CLAIRE LALAU DE LA FONTAINE

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  Notre copine Sylvie Cadio gère le bel Hôtel Prouhèze (Aumont-Aubrac) avec son mari de grand chef,

Pierre Roudgé (ex-Miramar à Biarritz, mais surtout chef du Vanel** à son heure de gloire, puis fondateur de

La Belle Epoque*, tous deux à Toulouse).

 

 

Deux personnages, ce couple ! Et leur carte des vins fonctionne sur le mode du Coup de coeur. Donc, elle tourne beaucoup et c’est la patronne qui conseille « vivement » les clients. Et il arrive à Bétourné de s’attabler chez eux.

 

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DÉVELOPPEMENT

 

Ainsi donc Bétourné but du vin de Majou.

Puis s’en alla conter l’histoire sur son blog patenté.

Sur le conseil de Sylvie dont on rentre dans les goûts,

De le lire forcément je me sentis tenté.

Moult gentils mots, moult appréciations,

Et de longues phrases, de belles conjonctions.

En effet notre bougre boit le vin et le goûte,

Puis, à satiété, des descriptions il rajoute.

 

Il faut aller voir ICI.

 

INCIDENTE

 

Notre ami Philippe Stuyck tient depuis 20 ans la barre d’In Vino Veritas (c’est ICI), après avoir lâchement abandonné Kawasaki et les parfumeurs ou les coiffeurs (sais plus). C’est grâce à lui que je rencontrai Hervé Lalau, qui n’appartenait pas encore à l’équipe de manière institutionnelle. A présent, sous le regard de Philou, c’est lui qui en gère le quotidien avec son compère Vanhellemont.

En outre, il tient un blog fort lu et participe à la direction du Circle of Wine Writers et de l’APV (Association Française de la Presse du Vin).

Malheureusement, il a été fait membre de toute une série de confréries bachiques, ce que je trouve personnellement du plus haut ridicule .... car c’est un beau souk. Nous connaissons tous les bachiques beaux souks, Mille Sabords.

 

 

PIÈCE MAÎTRESSE

  

Jadis sur le papier il consignait ses ires.

Maintenant c’est le clavier qui reçoit ses délires.

De nouvelles en nouvelles, de brèves en constats,

Il fallait aller loin pour qu’il se ... gondolât.

Aussi vais-je le pousser, et même l’agacer,

Jusqu’au point de rupture, pour qu’il crie « Assez ! ».

De tout temps, chroniqueurs, nous avons l’habitude

De fâcher les fâcheux afin d'abandonner toute certitude.

 

EPILOGUE

 

En quelques lignes j’ai frotté plein de manches.

De plein de bons copains, j’ai pu faire le fayot.

Cela va tellement loin que dans le Sud-Ouest,

Pourtant bien moins cruel que le sombre Far-West,

On ne m’appelle plus maintenant autrement que « Coco ».

Et cela vaut sans cesse, du lundi au dimanche,

Du Cabardès au Razès, puis dans le Lauragais.

On me le dit même au fin fond du Tarbais !

 

 

 

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