MILLISIEVERTS SUR LES CHÊNES VERTS ?

Greetings from Golfech
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Perplexité ce jour : deux billets me titillent. Mais quel ordre adopter ?

 

  1) Jean qui pleure

 

Je me lance donc. On gardera le plus optimiste pour la fin, c-à-d le haut de la liste.

 

 

Un séjour en Lomagne, mais aussi en pays de cocagne, et dans une large partie du Quercy, m’a amené à la même conclusion partout : les feuillus souffrent terriblement. Le long du Canal du Midi, on va abattre des milliers de platanes, au risque de perdre le classement au patrimoine mondial de l’UNESCO – qu’est-ce que c’est que cette connerie d’ailleurs : les écluses et autres ouvrages sortis du cerveau prolifique de Riquet n’ont rien à voir avec les accidents de la botanique. En outre, d’ici à ce que les DDE locales aient réellement accompli le carnage .... Quelque part près de XX, endroit tenu secret par discrétion, les ormeaux de D. Cobbold ont péri, les marronniers n’ont plus une seule feuille et même les chênes – verts ou autres – sont fortement roussis. Or, la couverture au sol est bien verte. En 2003, dès le début août on se croyait en automne ; en 1976, même constat. Cette fois, il n’en est rien. Je ne pense pas que ce soit uniquement le résultat d’un manque d’eau, de chenilles pour les platanes ou d’un agent inconnu pour les castanidés, tout en admettant que cela puisse jouer un rôle.

 

Une idée lancée en l’air : et si les bécquerels – transformés en millisieverts si vous voulez – que nous dégustons depuis Fukushima y étaient aussi pour quelque chose ?

 

Tiens, l’endroit XX tenu secret n’est pas si éloigné de ma photo du jour, à propos.

Miamm, le bon Chasselas de Moissac !

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    u=265498 (vendredi, 03 mai 2013 17:13)

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