Nous avons entamé
la dixième campagne du
Domaine de la
Coume Majou.
Il s’inscrit de plus en plus
dans l’optique d’une
gestion responsable.
A la vigne, dès la deuxième année, nous avons tenté de prendre nos distances avec l’approche traditionnelle imposée par l’industrie chimique.
A la cave, chaque année a vu disparaître un intrant de plus.
A la vente, nous gagnons – c’est le plus difficile – nos clients un à un.
Enfin, dans nos déplacements, nous faisons un effort écologique aussi. Christine a accepté que je revienne au deux-roues, mon amour de jeunesse. Comme mes réflexes sont émoussés par presque soixante années d’une vie trépidante, par les saloperies d’anti-hypertenseurs que je suis obligé d’avaler et par un alcoolisme peu démonstratif mais tenace, c’est en scooter que je ferai mes premiers déplacements. Le bicylindre Moto-Guzzi de mes rêves, ce sera pour plus tard.
Comme je ne prends pas ces matières à la légère, j’ai demandé, de part et d’autre de l’Atlantique, à deux experts des déplacements discrets de me conseiller le modèle de machine à acquérir, tant au plan du confort que de l’écologie, et bien sûr au niveau de la sécurité (équipement, attitudes, itinéraires, précautions à prendre).
Je dois beaucoup à deux Michel (au moins),
à un Marc (au moins)
et à mon frère Thierry.
A présent,
c’est François et Barrack
que je remercie :
ils m’ont peut-être
sauvé la vie par anticipation !
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