On me trouvera
bien sot
À ne pas l’avoir lu
plus tôt
Mais on m’eût
trouvé retors
Si par quelque
remord
Je n’avais dûment
rattrapé
Lecture tant
longtemps négligée ...
Vous avez compris qu’il ne s’agit pas d’une « trouvaille » de ma part. Ce recueil plein de fantaisie, d’imagination, d’inventivité, à la fois farce et roman, fable et conte, commença sa vie entre 1765 et 1770.
Je m’en suis régalé de la première ligne à la dernière et vous conseille vivement de vous en délecter, si tant est qu’un professeur de français bien inspiré ne l’avait jamais imposé au sein de votre liste de lecture.
Merci à toi, Denis, facilement le plus illustre des « Langons ».
Réf : citation tirée de la page 243 de Jacques le Fataliste et son maître, Diderot,
chez Flammarion (1997)
Écrire commentaire