DU MOUVEMENT DANS MA « COLL »

 

 

 

Je vous avais présenté (ICI)

l’obtention des palmes académiques par une de mes vendangeuses. Las, l’infâme a trouvé emploi mieux rémunéré au sein d’un camping 5 étoiles sur la côte catalane.

 

 

 

 

 

Elle y anime – c’est sa formation de base – les tournois sportifs où s’affrontent Bataves et Teutons, Britanniques ou Scandinaves et même quelques

« Camembert-qui-puent ». Cela durera jusqu’à la fin du mois de septembre, nous privant ainsi de ses deux bras.

 

Qu’à cela ne tienne, nous avons quand même fêté son jubilé, hier soir en notre salle des fêtes privative sise en terre audoise, courtesy of the vioque. A cette occasion, elle a soufflé (voir illustration) les bougies du dessert haut de gamme confectionné par Christine : un mille-feuilles de fruits rouges du plus bel effet, agrémenté d’un gaspacho de framboises à la badiane et au poivre de Tséchouan. Rien que cela.

 

Nous l’avons arrosé d’un « Bastardinho de Azeitão » de 20 ans d’âge, un des rares survivants du stock que j’avais racheté en son temps à l’importateur belge, quelques années après que la maison José Maria da Fonseca eût arraché cette vigne de vieux bastardo sur la péninsule de Setúbal (1983). La belle robe topaze

– il s’agit de raisins noirs – est obtenue par le vieillissement oxydatif prolongé dans le bois de ce vin muté à l’eau-de-vie. Il existait aussi une version élevée durant 30 ans.

 

 

Et encore un très bon anniversaire à toi, Marielle :

Parabéns / Feliç Aniversari / Gelukkige Verjaardag !

 

 

 

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