À LANCE ET NEIL, MOI JE PRÉFÈRE LOUIS

Elle en tremble encore !
Elle en tremble encore !

 

 

 

L’astronaute/cosmonaute

– le conflit hégémonique US of A vs CCCP ne m’intéresse guère –

est mort hier.

Et le cycliste/biker semble devoir perdre prochainement

ses titres du Tour de France.

Dans les deux cas, je pense que le public a été abusé, sciemment, avec la complicité des

agences de presse dépendant d’Associated Press, c-à-d tout le monde occidental.

 

 

 

 

 

 

Par contre, Satchmo, on n’a pas grand chose à lui reprocher, même pas sur le mode scat. D’accord, il a accepté certains rôles moins engagés, mais il avait eu le courage de prononcer des propos très critiques à l’égard d’Eisenhower lors de l’affaire de Little Rock et, discrètement, il soutenait l’action de ML. King.

 

 

J’ai pensé, sans aller du tout rechercher mes sources et donc purement de tête, pour voir ce que vaut une opinion humaine, vous livrer les arguments qui ont forgé ma conviction : l’homme n’a pas marché sur la lune. Or, j’étais scotché devant l’écran N/B en 1969, dans la salle-à-manger de la petite villa familiale de Coxyde.

 

Il y a tant d’invraisemblances :

 

Toutes les images qu’on nous a « envoyées » sont truquées à mon avis (ombres, reflets, vent, empreintes, arrières-plans ...) et sans doute fabriquées au sein de la scène utilisée par Kubrick et plagiée dans les aventures cinématographiques de James Bond 007. Idem dito pour la bande son.

 

La démarche prétendument en apesanteur des personnages est peu crédible.

 

Un grand nombre d’acteurs de l’épopée Apollo sont morts dans des circonstances inhabituelles (accidents suspects, meurtres, suicides ....).

 

On ne serait plus capable à présent de ré-éditer des missions réussies à plusieurs reprises dans les années ’70 ? C’est comme si PSA ne réussissait plus à produire aujourd’hui un véhicule rudimentaire comme la fameuse « Traction ».

 

Les « pierres lunaires » n’ont rien révélé d’intéressant. Il faut dire qu’une partie de la poussière intersidérale (et des astéroïdes) que nous récoltons sur terre est aussi de provenance lunaire.

 

Mais mes deux éléments déterminants sont liés à l’impossibilité technique de quitter le sol lunaire avec un engin aussi peu sophistiqué et peu puissant que le L.E.M, si on admet qu’il s’y est posé, d’une part, et le danger représenté par l’énergie ionisante des ceintures de Van Allen, d’autre part. Il existe un vrai débat d’experts sur ces deux sujets, mais je penche du côté des incrédules.

 

 

Reste la question double : quel était l’intérêt de cette énorme mystification et pourquoi « les Russes » ne l’ont-il pas dénoncée ? Ma réponse, simple (simpliste ?), s’adresse aux deux interrogations. Les différentes agences spatiales, tous les fournisseurs, tous les fonctionnaires et officiels qui y étaient employés, ainsi que l’armée US, ne souhaitaient pas voir diminuer le budget qu’ils percevaient. Et leurs alter ego russes avaient le même intérêt.

 

A vous dire vrai, je suis convaincu qu’il se passe là-haut pas mal de choses à caractère militaire, que la « science » n’a rien à y gagner, que les « déchets orbitaux » deviendront rapidement un problème à étudier sérieusement et qu’il faudrait réduire au maximum le trafic atmosphérique (ou plus lointain), en le limitant aux stricts besoins des télécommunications.

Ce qui se passe sur Mars ou ailleurs, on s’en tape, et on ferait mieux d’améliorer notre impact sur la planète terre, soit en réparant le mal que nous y avons déjà causé, soit au moins en diminuant son aggravation continuelle.

 

Le parallélisme avec le monde du sport professionnel est criant, et ses motivations répondent au même besoin : le bénéfice financier de tous ceux qui gravitent autour des athlètes : équipementiers, journalistes et commentateurs sportifs, télévisions et groupes de presse, sponsors, staff médical et paramédical – qui sont les plus coupables à mes yeux -industrie du médicament et monde politique dans son ensemble. Tandis que le petit peuple – y compris de grands intellectuels passionnés – va au stade, se masse le long des cols montagneux et achète les « produits dérivés », il ne se pose pas trop de questions sur les autres sujets. Ajoutez un macdo et une Heineken de temps à autre et .... « Circulez, y’a rien à voir ».

 

Il n’y a rien de juvénile chez Juvénal et je laisse le mot de la fin à Christine, qui ne ruisselle pas d’habitude sous mon scepticisme et mon cynisme noirs :

« Il est parti avec son secret, Armstrong ».

Elle a raison.

 

 

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